Pour Mon Amie Nouria
rien que pour Toi, Ma belle...
https://www.youtube.com/watch?v=U9ypGA3pnvI&feature=player_embedded
Que Dieu Te bénisse
Alain
C'est à peine si j'ose..
Composition: Jean-Marie Djibedjian
Chant: Julian Renan
Texte: Alain Girard
Et puis
le saxe à mort crache un solo d’enfer !
Je me retiens au vent
de l’illégalité.
La boite pue l’alcool. Un vieux con
éventé
Me crache son pognon sous le nez ! Faut s’y faire
!
Quand je savais la mort, j’aurai du la garder !
Une
fille aux gros seins pleurniche sur son sort.
Je me retiens au
vent d’un impossible essor,
Et puis la guitare offre un écho
attardé !
Dans la brûlure étrange, aux couleurs
mensongères
Des spots élaborés je me souviens d’ailleurs :
Un
vieux créneau de vie bourgeonnant de frayeur
Dont j’ai sculpté
– en moi – l’étreinte passagère !
Le demi-clos de tout
n’est qu’improbable rêve !
Et le saxe reprend sa gueulante
d’acier ;
Le vieux con, dans son coin, est totalement scier
Par
l’alcool et le bruit. Je m’en fous bien qu’il crève !
Dans
les chiottes dorées, pas une éclaboussure
Et pas le moindre sang
d’une aiguille perdue !
On snif ! Et le trait blanc est corde de
pendu
A la gueule du monde où plus rien n’est censure
!
J’entends le cri surfait de l’aube en overdose
Et les
poubelles crient aux camions détritus .
Le saxo s’est éteint !
C’est fou ce que l’on tue !
Le matin dit la vie… C’est à
peine si j’ose !
Copyright. Tous Droits Réservés
Dépôt SACEM au nom de: SARAH et LUCIE GIRARD
Quand j'écris
dans la nuit.
Alexandrins
Si j'écris dans
la nuit ma vie qui tourbillonne
En des mains désunies dont je ne
suis personne
Et que de l'autre vie dont on parle toujours
Il
ne me parvient plus le moindre mot d'amour
C'est que depuis
l'ivresse et toutes voluptés
Je ne sais plus les mots des belles
libertés
Où j'aimais ce rivage auprès de ton corps nu
Où se
dressent mes mains, à présent, vers les nues !
C'est
que, lorsqu'il fait froid, dans mes petites choses
Étonnées –
çà et là – que se meurent les roses
Il n'est plus qu'un
ruisseau qui sillonne mon âme
Comme je tends la main que
prendrait un Femme !
Et de ne plus me voir et de ne plus
m'entendre
Il est le cœur défait quand bien même il fut
tendre
Avec ses insomnies qui égarent les restes
Avec – en
demi-clos – mon improbable geste
Étourdi, médusé comme un
petit accord
De Guitare, à mes doigts, qui dessine ton corps
Toi
qui n'existe pas, Toi qui n'existe plus
Quand j'écris dans la
nuit, par la vie, ce qu'il plu !
Alain Girard
Copyright.
Tous Droits Réservés.
Le tendre de la vie.
Illustration Cuffaro
(dont j'ai oublié le prénom)
Le
couteau sur le bras, il regardait sa main !
Les choses n’étaient
plus d’aujourd’hui pour demain !
Le second souffle n’est
qu’un présage du temps
Il ne respirait plus…. Il pensait…
C’est autant !
Il ferma la poubelle où le monde
s’égraine
Avec autant d’amour que l’amour crée la haine
!
Un ruisseau d’autrefois chantait dans sa maison
Comme à
n’être plus rien il vécut en prison !
Pour Une Poésie
dont s’inventait son âme
Il aima le baiser sur le corps d’une
femme
Et parmi des chemins qui n’ouvrent pas les yeux
L’ombre,
de son corps nu, s’élevait jusqu’à Dieu !
Ce n’était
pas un soir, ce n’était pas un jour
Ni le beau ni le laid qu’on
écrit par amour,
C’était juste son bras posé sous le
couteau
Comme on dit : « Au revoir » comme on dit : « à
bientôt ! »
Il parla… Puis se tut, puis regarda le
monde
En ses tendres beautés comme beautés immondes !
Personne
ne songeait qu’il partait en silence
Avec sa Poésie sous le
bras et l’offense
Exhibée d’un peut-être : « il est
encor un Mot
Que tu n’as pas écrit depuis tes propres maux !
»
Il est peut-être bien une main malheureuse
Et l’endroit
de sa vie comme une vie douteuse !
La force lui manqua ! Les
Êtres sont souvent
Balbutiés par tout Être et chahutés au vent
!
Il n’était plus, en lui, qu’éteindre la lumière
Et ce
ne fut semblant et ni même éphémère !
Il regarda sa main,
le couteau, le sang rouge !
Était-ce l’aube encore où plus la
vie ne bouge ?
Le Poète entrevoit, dans les cieux, parsemé
Le
tendre de la vie que vous n’avez aimée !
Alain
Girard
Copyright.
Tous
Droits Réservés.
Dépôt SACEM
La Bohême
Là où je vivais
à Montmartre
près de la Place des Abesses
Paris 18ème
j'avais vingt ans
https://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=Oj-3hk2L7MQ
Alain Girard
1. faustine84 le 15-08-2015 à 23:21:28
bienvenue sur le blog
amitié du vaucluse
2. girard _kervel le 16-08-2015 à 00:15:06
merci de votre commentaire...
j'ai visité votre blog et j'ai voulu vous
publier dans Mes Favoris car j'ai vu la photo d'un Labrador et Mon Compagnon
de 13 ans est un Labrador...
Amitiés
Alain Girard
En ce quinze aout....
je ne peux m'empécher de penser à Mon Amie: MARIE
c'est pourquoi...
https://www.youtube.com/watch?v=KYHRgYwrNDQ&feature=player_detailpage
Quand je te disais: Vous...
Il y a si longtemps....
Il faut savoir...
https://www.youtube.com/watch?v=0NiXoTOr49w&feature=player_detailpage
Alain Girard
Une
chanson pour Toi.
Composition
et interprétation : Jean-Marie Djibedjian
Texte : Alain
Girard
http://leschansonsdejmd.musicblog.fr/3022331/Une-chanson-pour-toi/
Dans la
fatigue de mes jours
Où
mon corps de partout se glace
A
l’éconduit dont on trépasse
Où
l’on aurait perdu sa place
Entre
la beauté et l’amour…
Il
me reste, aux mots, Une voix
Dont
je fais ma chanson pour Toi !
J’attendais,
de Dieu, mon silence
Et
ne plus être ni vouloir
Qu’il
éteignit ce long couloir
Où
je ne sais que nonchaloir
A
peine le pas qui s’élance…
Mais,
à mes mots, il est Ta voix
Dont
je fais ma chanson pour Toi !
Mais, à mes
mots, il est Ta voix
Dont
je fais ma chanson pour Toi !
Le
vent qui pleure à ma fenêtre
A
mis en croix ma poésie
Comme
à mourir l’on ne choisit
Le
chemin creux qui nous saisit
Pour
un matin mieux… mieux renaître
Aux
mots dont je connais Ta voix,
Dont
je fais ma chanson pour Toi !
L’hiver
est un printemps morose
Où
le ciel s’effeuille en flocons
Où
l’ombre même du faucon
Ne
sait plus le moindre cocon
Qu’inventait,
de parfums, la rose…
Où
je cueille, à mes mots, Ta voix
Quand
j’écris ma chanson pour Toi !
Alain Girard
Copyright. Tous
Droits Réservés.
1. Soupirance le 22-08-2015 à 14:07:17 (site)
Très joli poème où les vers portent à merveille cette déclaration...
Vraiment superbe !
Amitiés,
Lauriane
Halte à ci, halte à ça
mis en musique et interprété
par:
Jean-Marie Djibedjian
http://www.aht.li/2664479/HALTE_A_CI_-_HALTE_A_CA.MP3
Texte: Alain Girard
Halte à ci, halte à ça j’en frissonne d’avance
Et les hommes s’ébrouent de leur moindre importance !
Ils regardent le vide où certains sont tombés
Puis inventent des lois pour des lois succombées !
« Halte ! Regardez-moi, vous n’êtes pas « inscrit »
Sur les normes du temps que nous avons écrit,
Vous n’êtes ni payeur, ni payé, ni rituel,
Les hommes comme vous sont bons pour nos poubelles ! »
Dans notre société, disait ce pauvre con,
Les places sont en jeu et vous savez bien qu’on
Ne peut-être à la fois sur la touche et goûter
Aux promesses de Ceux qui font la liberté !
Vous savez bien, depuis qu’on surveille vos gestes,
Que les hommes d’ici vous prennent pour un « reste »,
Alors laissez nous faire et fermez votre gueule,
Vous êtes insoumis ! Mais vous êtes tout seul !
J’écoutais la télé un soir de déjà vu
Et ce discours mortuaire, en lui même, imprévu,
Me souffla des élans de foutre tout en l’air
Car je sais – entre nous – qu’il y a des éclairs
Capables d’interrompre et même d’étouffer
Ces connards bien élus autant qu’il faut bouffer
Chaque jour à sa faim quand bien même improbable
Est leur propre vision à jamais détestable
Qui nous dit : « Halte à ci, halte à ça, halte à tout,
Soyez ce qu’on vous dit mais oubliez surtout
De relever le front, de relever la tête…
Autrefois nous avons su tuer… des Poètes !
le 3 09 2007
Alain Girard
Copyright. Tous droits réservés.
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